ajout de moteur de recherche type gschoolar ou unpaywall
Au fil du rapport sont documentés successivement l'augmentation de la sédentarité des enfants au risque de leur santé et de leur équilibre, l'impact des inégalités sociales, genrées et territoriales sur l'accès au dehors, les dangers du dehors, les pollutions atmosphériques et sonores qui dégradent l'environnement dans lequel les enfants grandissent. Il propose aussi les chemins d'une éducation hors les murs, et l'aménagement des espaces, pour ouvrir la ville et la nature aux enfants et aux adolescents.
Cet ouvrage se distingue par l’application de l’approche par les capabilités, concept fondamental dans les sciences sociales, à la conception de dispositifs éducatifs, particulièrement développé dans les territoires anglo-saxons. En tant que tel, il ouvre une réflexion sur la manière dont les technologies éducatives peuvent être utilisées non seulement pour transmettre des connaissances, mais aussi pour renforcer la liberté et l’autonomie des apprenants. Cet angle d’analyse permet de recentrer le débat sur les finalités de l’éducation, au-delà des simples performances académiques, en soulignant l’importance du développement personnel et de l’émancipation sociale. L’ouvrage répond à certaines attentes dans le domaine éducatif : celles de repenser les pratiques pédagogiques pour les aligner sur les valeurs d’équité, d’inclusion, et de justice sociale.
Cet article fait état d’un courant pédagogique en émergence au regard de la nécessité de penser l’éducation à l’époque de l’Anthropocène, en contexte de crise du vivant, que nous appelons écoconstructivisme. Il s’agira d’en définir les principes directeurs et de le situer au regard des courants dominants qui sont le constructivisme et le socioconstructivisme, mais aussi des autres courants tels que le courant humaniste, le courant critique et citoyen, et le connectivisme.
Dans ce numéro, on explore les croisements entre numérique, écologie et féminisme.
On peut y avoir des conversations en privé, des groupes de discussion et des espaces contenant plusieurs “rooms” ou salons de discussion. L’interface s’approche de celles de Discord et Slack.
Comment le harcèlement en milieu scolaire est-il passé de la sphère privée – considérée comme une forme de conflit entre élèves qui ne concerne pas les adultes – à une problématique relevant de la sphère publique, donc sujet à débats et objet de politiques éducatives ? L’Édubref n° 23 « Harcèlement en milieu scolaire : construction d’un problème public » vise à analyser l’évolution de cette prise en compte, de la conceptualisation du phénomène aux dispositifs contemporains de prévention et de lutte contre cette forme de violence entre pairs.
Dans le domaine de l’agriculture, ils sont notamment identifiés comme outils d’aide à la décision et/ou participant à l’innovation et transformation des systèmes. Alors que de nombreux travaux alertent sur le besoin de transformer les systèmes agricoles et alimentaires (Campbell et al., 2017), les jeux pourraient être un atout majeur pour accompagner ces transformations et travailler sur des systèmes durables. Or, peu de travaux portent sur la mobilisation des jeux dans le domaine de l’agriculture, et moins encore sur leur prise en compte des dimensions associées à la durabilité des systèmes. Ce résumé présente les principaux résultats de la revue de littérature que nous avons conduite sur l’utilisation de jeux sérieux sur l’agriculture et sur la manière dont ces jeux traitent des questions de durabilité des systèmes agricoles.
Bruno Robbes : Le projet se décompose en 3 grandes parties. Dans le premier axe, nous allons observer comment la notion de coopération apparait dans les textes qui régissent la formation et le métier d’enseignant, de la maternelle à l’université. Les questions que nous nous posons à cette étape sont : Comment la notion de coopération est-elle définie dans les référentiels de compétences ? Est-elle traitée dans les référentiels de formation ? L’objectif est d’essayer de produire une sociohistoire de cette représentation de la coopération à travers les textes institutionnels. Le deuxième axe du projet analysera plus précisément les dispositifs de formation d’enseignants eux-mêmes, pour identifier comment la coopération s’y déploie, quels sont les contenus d’enseignement relatifs à la coopération, comment ils se sont développés et comment ils évoluent. Nous irons observer les pratiques afin de comprendre comment elles sont perçues et investies par les étudiants, les enseignants, les formateurs. Pour ce faire, nous allons avoir des phases d’observation dans notre académie, mais également dans les académies de Lille et de Rennes, puis au-delà si possible. Le troisième et dernier axe du projet vise à étudier les effets que ces formations à et par la coopération produisent sur les pratiques concrètes des étudiants, mais aussi des enseignants une fois qu’ils ont été formés. Nous allons donc nous rendre dans des établissements et des classes, afin d’observer les enseignants en activité professionnelle quelques années après leur formation et d’évaluer l’impact sur leurs pratiques au quotidien. Nous allons pouvoir commencer ces observations avec la Haute École Libre Mosane à Liège et son projet Tenter+, qui a près de 20 années d’expérience dans la mise en place des enseignements en pédagogie coopérative. Des recherches sont aussi déjà engagées directement à partir de la formation que nous proposons dans la licence de sciences de l’éducation et de la formation à CY Cergy Paris Université, sur les sites de Cergy Hirsch et Antony. D’autres terrains d’observation sont à l’étude.
très belle infographie dynamique
De nouveaux travaux, publiés jeudi 24 octobre dans la revue Science, suggèrent que l’effet des produits agrochimiques sur ce déclin pourrait être plus important que prévu. Cette étude menée par des chercheurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL) a démontré que certains pesticides, perçus initialement comme inoffensifs, pourraient en réalité perturber le développement des insectes.
L’auteur explique que le regroupement syndical résulterait de la conjugaison de deux ressorts. Il s’agirait d’abord de répondre positivement à l’incitation des institutions qui choisissent d’octroyer des droits ou des avantages uniquement aux agriculteurs fédérés. Il s’agirait aussi de défendre des intérêts économiques communs, en cas de déstabilisation des marchés : les exploitants s’organisent pour sauvegarder collectivement des pratiques améliorant leurs revenus ou pour obtenir des soutiens conjoncturels de l’État.
ce livre explore les liens entre agriculture, alimentation et territoire. Il est scindé en trois parties, introduites par des témoignages, qui répondent notamment aux questions suivantes : quelles sont les différences entre les systèmes alimentaires territoriaux (SAT) et les PAT ? Que retire le collectif des acteurs, impliqués dans un PAT, du lien tissé entre agriculture, alimentation et territoire ? Comment les PAT contribuent-ils au développement territorial ? Des exemples venant de la région Nouvelle-Aquitaine illustrent les chapitres.
Dans la dernière partie, ils formulent leurs recommandations sur de nombreux aspects des systèmes agricole et agro-alimentaire. Selon eux, les soutiens de la Politique agricole commune devraient être orientés en priorité vers les petites exploitations et les exploitations mixtes, les jeunes agriculteurs, les nouveaux entrants et les agriculteurs installés dans les zones soumises à des contraintes naturelles. Ils préconisent de les compléter par des paiements pour services environnementaux, objectivement conditionnés aux résultats dans ce domaine. Pour cela, ils recommandent la mise en œuvre d’un nouveau système d’évaluation de la durabilité globale des exploitations ou des produits, basé sur des références uniformisées à l’échelle européenne. Installé par mesures législatives et placé sous la surveillance de la Commission européenne, ce référentiel permettrait d’homogénéiser les normes établies par divers acteurs et favoriserait ainsi la comparaison des performances environnementales, en tenant compte des différents enjeux (biodiversité, gaz à effet de serre, pollution, bien-être animal, qualité de l’eau, conditions de travail).
code pour des boutons par ex